Extraits du livre « H. Wöhlk – Eine Würdigung » (H. Wöhlk–un hommage)
avec des textes de Feridun Zaimoglu
Heinrich Wöhlk était un homme animé par la passion. Tous ceux qui le connaissaient disaient: « la motivation ne le quittait jamais; à ses côtés nous n’étions jamais dévalorisés ».
Lorsqu’il était enfant, il voyait très mal, plus exactement, il était à moitié « aveugle ». Tout autour de lui était troublé par des lumières fantômes, la clarté n’était qu’obscurité. Wöhlk n’aimait pas porter ses épaisses et lourdes lunettes de vue.
S’améliorer, refuser le renoncement, faire mieux. Wöhlk inventa la lentille de contact et quitta ses lunettes. Il commença ses activités sous un pavillon de jardin puis se retira dans la cave de sa maison avec 6 collaborateurs.
Il joua aux échecs jusqu’à la fin de sa vie; le corps penché et souriait en constatant qu’il voyait clair.
Extraits du livre « H. Wöhlk – Eine Würdigung »
(H. Wöhlk–un hommage avec des textes de Feridun Zaimoglu)
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